J’ai plus la foi de continuer sans toi, Et j’ai pas le droit de refuser la loi du plus droit qui est Allah Une semaine en combat Et une seconde pour partir là-bas Dans un monde où l’on parle sans voix, où on n’a pas le choix de repartir chez soi.

T’es parti sans m’entendre te dire je t’aime Sans voir mes yeux qui te crient ne me laisse pas Je sais que c’est pas à nous de choisir L’heure de partir Mais plutôt obéir ça fait mal de te voir partir sans rien dire J’aurais aimé t’avoir avec moi Que tu fasses partie de ma voie Mais que Dieu soit avec toi et moi Meriem Cela fait une année que tu nous as quittés à jamais. Nous ne pouvons toujours pas nous résoudre à l’idée de ton décès, mais la réalité est là et la douleur de ton absence ne veut guère s’apaiser. En ce douloureux souvenir, nous demandons à tous ceux qui t’ont connu et aimé d’avoir une pieuse pensée à ta mémoire et de prier Dieu Tout Puissant de t’accorder Sa sainte Miséricorde et t’accueillir en Son Vaste Paradis.

Ta femme et tes enfants.

- (*) Hamid Kechad, homme de radio émérite et musicologue, décédé il y a une année.

Source: El Watan - 5 janvier 2009

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